Oops, an error occurred! Code: 2024050201441465c81b27 Hommage à mon ami en mémoire de - Fondation 30 millions d'amis

Minidoux

1985 - 2005
Mâle

Né(e) le : 07 septembre 1985
Disparu(e) le : 29 octobre 2005

De :


Maître·sse : lulu67


Signe particulier :
longueur de poils ouatinée colorette magnifique surnommé HENRI IV de ce fait- prestance, majestueux


Friandise préférée :
poulet


Jouet préféré :
doudou robe de chambre


Meilleurs amis :
milou sa maman

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En mémoire de Minidoux

21 19 10

Coucou mon Minidoux, je te souhaite un joyeux anniversaire là où tu es - jamais, je ne t'oublierai- La première fois que je t'ai vu, tu avais à peine une semaine-je revenais de vacances et nous avions décidé, ton futur papa et moi de faire un détour dans la famille sur le chemin de retour avant de rentrer - quelle bonne idée- et qu'est-ce que j'ai vu en entrant dans la cuisine de ta maison natale- deux chatons, un noir et blanc et toi : j'ai toujours voulu un félix- un noir et blanc donc mon choix fut vite fait sans concertation avec ton futur papa pour adopter- j'ai choisi seule dans mon coin, le noir et blanc- je l'ai appelé Belmondo car très très cascadeur à UNE SEMAINE TOUT JUSTE- ton futur papac me dit- " un noir et blanc, c'est trop courant- regarde l'autre comme il est beau !" Les chats à plusieurs couleurs ne m'attiraient pas à l'époque sauf les tigrés et toi, tu ne fus pas tigré 6 mais tu t'es accroché- tu as dû sentir, comprendre que cette dadame- là adorait les bêtes et que fallait, vaille que vaille, activer un jeu de séduction- Assise devant la tv, tu es venu, tout petit que tu étais, sur mes genoux- tu es monté, en grimpant et t'agrippant sur mes leggins, bonjour les trous, tout petits mais je t'ai laissé faire-je voulais voir jusqu'où cela irait- j'étais étonnée comme tu t'es donné le mal pour arriver en haut, parfois en retombant de quelques centimètres, tu repartais tans ta montée- incroyable mais vrai pour t'installer contre mon ventre et dormir- tu n'as pas bougé longtemps , j'osais moi-même pas bouger- étonnée, surprise de tant de confiance- tu ne me connaissais pas -tu ne te méfiais pas de moi du tout- ton futur papa disait " tu vois, il te veut" - j'ai, du coup, changé d'option et je t'ai choisi- en voyant ton pelage, j'ai pensé à un assouplissant pour te donner un prénom- tu fus si doux - j'ai d'abord pensé à Lenor puis Minidoux - un carton avec l'inscription" minidoux" restait dans le couloir et ça m'a fait tilt- il est devenu ton carton- nous sommes revenus après ton sevrage pour te prendre pour toujours dans notre foyer- Nous avons eu la meilleure idée du monde, à faire le détour par la famille, avant de rentrer de vacances car quelqu'un t'avait vu avant nous mais n'avait pas su se décider pour t'adopter et quelques jours plus tard, la personne voulait t'adopter- Trop tard, nous t'avions déjà choisi et pris- Dommage pour Belmondo- j'ai souvent pensé à lui- une adoption d'un chat au pelage quelconque par des gens qui auraient préféré t'avoir toi avec un pelage hors du commun, nous l'avons su plus tard, j'espère que Belmondo à su se faire aimé- toi, exclusif, observateur, magnifique, rouspéteur mais si heureux avec nous, tu fus notre récompense de chaque jour- En passant devant ta maison natale lorsque tu posais sur la lucarne pour voir dehors, en entendait les voitures ralentir voire freiner ! deux sont rentrés dans un arbre ou retrouvés sur le bas côté- on est sorti ? Que se passait-il donc pour que les voitures se déportent ? on a entendu rouspéter puis on a entendu le chauffeur, son regard tourné vers nous dire "c'est à cause de lui, là-haut, ma femme m'a dit regarde le beau chat et j'ai regardé et voilà - paf, j'ai perdu la route " Après deux "boom" dans un arbre, on a compris- c'est toi qui suscitait une curiosité "dangereuse", à faire oublier la maitrise de la conduite à certains - A partir de ce jour, interdiction formelle de siéger sur le rebord de la lucarne, pour toi, mon Minidoux-- On a rit, mais rit, la maman de ton papa pouffait, seule dans sa cuisine et ajoutant des "En ben ça alors ??" tout le monde riait- - les voisins : "ils rentrent dans les arbres maintenant en conduisant, ils sont cuités ou quoi, qu'est-ce qui se passe donc ?" Partout, où tu passais, un SUCCES INNOMMABLE- LE MUST- LE MEGA MUST- on me disait de faire des concours AH NON ! mon chat n'est pas un objet de vitrine, voilà ma réponse à chaque fois - Ton papa n'arrêtait de me bassiner " tu vois comme il a du succès Minidoux, je t'avais dit de le prendre- tu ne m'aurais pas écouté mais heureusement, lui a su faire avec toi et tu as craqué ! " Et puis, ce 29 octobre 2005, jour de ta mort,- tu fus affaibli le matin, à ne rien manger ni boire- une pancréatite prenait le dessus depuis quelques jours- nous sommes allés chez le vétérinaire, ce jour-là, pensions à des soins simples à prodiguer pour aller mieux, un suivi médicamenteux mais le véto nous a annoncé que tu commençais à agonir, qu'il valait mieux t'aider à partir- nous étions un samedi, veille d'un long week-end de Toussaint- il valait mieux obtempérer là, maintenant, plutôt que de te voir partir chez nous, petit à petit ou chez un véto de garde, en direct, dans un lieu peu familier- De toutes façons, tu allais mourir- ce fut juste une question d'heure- quel chagrin -enveloppé dans ma robe de chambre, tu fus placé dans ton panier en osier après euthanasie, et mis dans le coffre de la voiture pour se rendre dans ta maison natale et t'enterrer dans le jardin où tu aimais tant gambader- à la Toussaint ! j'ai eu si froid dans le dos, ce week-end là ! je pleurais, même au cimetière pour toi ! les gens croyaient que je pleurais un deuil de personne, récent - même post-mortem, tu fus espiègle, mon Minidoux; mon "maxidur," je te le disais des fois quand tu faisais des siennes - repose en paix- ne m'oublie pas- je t'aime, tu fus comme un enchantement dans ma vie de jeunesse où tous les rêves et les espoirs sont permis- ce fut la meilleure période de ma vie à partager avec ta vie -toi, y compris- inoubliablement- à jamais- j'aurais pu t'appeler MERLIN, même fatiguée, tu me revigorais rien qu'à te voir- tu ne me quittais pas d'un poil, pas d'un regard fixe, pénétrant, sans bouger- un autre aurait pu prendre peu moi je savais que ta présence fut déversante sur ma personne, pour tous les jours à partager - bisou - ta maman qui t'aime

lulu67

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50 commentaires

  • Le souvenir est une fleur qui ne meurt jamais

    De : lulu67

    19/04/2024 à 10:19:34

  • Je t'aimais plus que tout

    De : lulu67

    19/04/2024 à 10:19:30

  • Repose en paix

    De : lulu67

    19/04/2024 à 10:19:27

  • De : lulu67

    19/04/2024 à 10:18:43

    Coucou mon Minidoux ; chaque année, à cette époque, je te revois dans l'herbe haute, déambuler majestueusement autour de ta masion natale- le vent dans tes poils leur donnait un mouvement magnifique- tu fus si beau-

    Tu manques et le souvenir reste - tu fus mon rêve, mes projets, mon insouciance- même si d'autres petits êtres sont entrés dans ma vie, empruntés ou m'appartenant, tu symboliseras toujours la beauté du monde, de la vie, son accessibilité - bisou mon chéri d'amour- ta maman qui t'aimera toujours- 1985 à 2005, mon coeur fut si léger et la vie si doucereuse ! veille sur moi et sois heureux là où tu es ! 

  • Dans nos coeurs pour toujours

    De : Tipulko

    06/04/2024 à 09:35:49