En mémoire de léo

Il est parti d'une embolie pulmonaire car il avait un ventricule atrohié Il est parti brutalement et bien trop jeune. Pourtant, il vivait intensemment tous ses instants de vie et c'était pour moi un grand bonheur de le voir ainsi. J'étais fière de lui et le suis toujours. il me manque terriblement, je le pleure, je l'apelle dans mes reves mais ce n'est pas assez.. J'aimerai le voir, le caresser,le dorloter... tout ce qui serait bon pour lui. Je l'aime telllement que, si cela avait été possible, j-aurai donné sans problème, des années de ma vie pour qu'il puisse viellir à mes cotés, je l'aimais tant; Quand il sortait, je m'inquiétais facilement. J'ai fini par lui faire comprendre et il avait bein enregistré ces queques mots: pas longtemps, je t'aime, sage. C'était mon petit bonhomme et à chaque sortie il avait droit à ces mots ponctués de gros bisous et caresses. il était grand chasseur de souris et comme il n'était pas peu fier de les rapporter dans le jardin, c'était son habitude.Leo, jamais je ne t-oublierai. Grace a lui j'ai vraiment découvert ce qu'était un chat; il m'a beauvoup appris sur leur facon de vivre, leur caractère. C'était un chat tellement doux et gentil que le vétérinaire disait qu'on pouvait lui faire plus de soins. Il était facile a vivre, de nature tranquille. Quand j'étais dans un fauteuil et qu'il venait sur mes genoux, je n'osais plus ensuite bouger. Et c'était ainsi dans la vie, je crois qu'il passait avant moi pour beaucoup de choses: le confort, les calins, les bons morceaux de nourriture...Il me manque, j'ai l'impression d'un grand vide et que l'on m'a enlevé un organe vital. On me l'a pris bien trop tôt, lui que j'avais récupéré avec un patte cassée un 25 décembre sous une voiture . Il a ete mon plus beau cadeau de ma vie. Mais déja n'avait-il pas suffisamment souffert dans sa vie. Chaque jour je pense à lui avec douleur. Je l'ai fait incinérer, j'ai gardé ses cendres et quand le moment sera venu, je le laisserais partir dans la nature qu'il aimait tant et ou je pourrai aller me recueillir.

Christine