En mémoire de Piou Piou

Mon doudou, c'est en écrivant ces quelques lignes que les larmes me viennent enfin. Depuis ton envol, j'étais comme anesthésiée de toute douleur. La maison ressent le vide de ton absence malgré la présence de tes deux petits copains. Les trois attaques neurologiques subies, ce 25 Février, ne t'ont laissées que très peu de chance de survie. La décision de te laisser partir a été douloureuse, et pourtant, nécessaire. Je te savais prêt à t'envoler afin de rejoindre tous les compagnons avec lesquels tu as partagé des instants de complicité et de tendresse. J'aimerais pouvoir te sentir auprès de moi, la nuit, te câliner et t'embrasser. J'aimerais te faire un millier de caresses et entendre tes ronronnements et tes ronflements. J'aimerais pouvoir te regarder t'amuser comme un petit fou comme tu le faisais, auparavant. Ma petite crevette me manque. Je t'aime plus que tout, mon adorable petit poulet.

Maman