En mémoire de MICKY

MICKY Un froid matin d'hiver , tout près de nos poubelles, nous avons entendu des miaulements d'appel: c'était un jeune chat gris et blanc,très gentil, qui,lorsque je l'ai pris,dans mes bras s'est blotti. Sur notre canapé il a trouvé sa place, avec un petit air qui n'manquait pas d'audace mais débordant d'amour et tout plein de douceur, il sut se faire aimer, apprivoiser nos coeurs. Quand nous avons compris qu'il voulait s'installer, sans puce ni tatouage et jamais réclamé, les enfants insistèrent pour qu'il soit adopté, nous fîmes l'acquisition d' un superbe collier. Chez le vétérinaire il a fallu aller, nous avons décidé de le faire opérer puis de l'identifier,de faire tous les vaccins, enfin de la maison, avons pris le chemin. Très vite il a compris qu'avec les enfants, il ne devait jamais se servir de ses dents, de ses griffes non plus,avec eux, tous les jours, il jouait au ballon,toujours pattes de velours. Pas besoin de réveil car,dès le petit jour, il venait dans nos lits pour nous dire bonjour, se couchait sur ma tête,le museau dans mon cou, c'était un grand moment,que du plaisir...tout doux. A tous les invités il faisait bon accueil et pendant l'apéro restait sur les fauteuils, grignotant ça et là olives et cacahuètes, ronronnant de plaisir, pour lui c'était la fête. Quatorze ans ont passé,quatorze ans de bonheur, avec toi mon Micky si doux et si gentil, mais un jour, sur ton ventre,des grosseurs ont sailli, un cancer des vaisseaux et beaucoup de douleurs. Chez le vétérinaire,un jour de février, il a fallu aller et pour te soulager, serré tout contre moi, là-bas tu es parti rejoindre tous les chats qui sont au paradis. C'était il y a cinq ans et,écrivant ces mots, je ne peux retenir et masquer mes sanglots, les enfants sont partis,on le sait c'est la vie, à chaque nouveau jour,je pense à toi Micky. Dans le petit jardin où tout près tu reposes, je cueille quelques fleurs et sur toi je les pose, je revois ces moments où,sur le cerisier, tu guettais les oiseaux,espérant les croquer. D'autres chats sont venus, avec un pedigree, mais,gentils comme toi jamais ils n'ont été. Mon Micky,garde-moi une place près de toi, car un jour, j'en suis sûre,on se retrouvera. Geneviève BAFFERT (mars 2009 ) MICKY Un froid matin d'hiver , tout près de nos poubelles, nous avons entendu des miaulements d'appel: c'était un jeune chat gris et blanc,très gentil, qui,lorsque je l'ai pris,dans mes bras s'est blotti. Sur notre canapé il a trouvé sa place, avec un petit air qui n'manquait pas d'audace mais débordant d'amour et tout plein de douceur, il sut se faire aimer, apprivoiser nos coeurs. Quand nous avons compris qu'il voulait s'installer, sans puce ni tatouage et jamais réclamé, les enfants insistèrent pour qu'il soit adopté, nous fîmes l'acquisition d' un superbe collier. Chez le vétérinaire il a fallu aller, nous avons décidé de le faire opérer puis de l'identifier,de faire tous les vaccins, enfin de la maison, avons pris le chemin. Très vite il a compris qu'avec les enfants, il ne devait jamais se servir de ses dents, de ses griffes non plus,avec eux, tous les jours, il jouait au ballon,toujours pattes de velours. Pas besoin de réveil car,dès le petit jour, il venait dans nos lits pour nous dire bonjour, se couchait sur ma tête,le museau dans mon cou, c'était un grand moment,que du plaisir...tout doux. A tous les invités il faisait bon accueil et pendant l'apéro restait sur les fauteuils, grignotant ça et là olives et cacahuètes, ronronnant de plaisir, pour lui c'était la fête. Quatorze ans ont passé,quatorze ans de bonheur, avec toi mon Micky si doux et si gentil, mais un jour, sur ton ventre,des grosseurs ont sailli, un cancer des vaisseaux et beaucoup de douleurs. Chez le vétérinaire,un jour de février, il a fallu aller et pour te soulager, serré tout contre moi, là-bas tu es parti rejoindre tous les chats qui sont au paradis. C'était il y a cinq ans et,écrivant ces mots, je ne peux retenir et masquer mes sanglots, les enfants sont partis,on le sait c'est la vie, à chaque nouveau jour,je pense à toi Micky. Dans le petit jardin où tout près tu reposes, je cueille quelques fleurs et sur toi je les pose, je revois ces moments où,sur le cerisier, tu guettais les oiseaux,espérant les croquer. D'autres chats sont venus, avec un pedigree, mais,gentils comme toi jamais ils n'ont été. Mon Micky,garde-moi une place près de toi, car un jour, j'en suis sûre,on se retrouvera. Geneviève BAFFERT (mars 2009 ) Voir mon poème MICKY Un froid matin d'hiver , tout près de nos poubelles, nous avons entendu des miaulements d'appel: c'était un jeune chat gris et blanc,très gentil, qui,lorsque je l'ai pris,dans mes bras s'est blotti. Sur notre canapé il a trouvé sa place, avec un petit air qui n'manquait pas d'audace mais débordant d'amour et tout plein de douceur, il sut se faire aimer, apprivoiser nos coeurs. Quand nous avons compris qu'il voulait s'installer, sans puce ni tatouage et jamais réclamé, les enfants insistèrent pour qu'il soit adopté, nous fîmes l'acquisition d' un superbe collier. Chez le vétérinaire il a fallu aller, nous avons décidé de le faire opérer puis de l'identifier,de faire tous les vaccins, enfin de la maison, avons pris le chemin. Très vite il a compris qu'avec les enfants, il ne devait jamais se servir de ses dents, de ses griffes non plus,avec eux, tous les jours, il jouait au ballon,toujours pattes de velours. Pas besoin de réveil car,dès le petit jour, il venait dans nos lits pour nous dire bonjour, se couchait sur ma tête,le museau dans mon cou, c'était un grand moment,que du plaisir...tout doux. A tous les invités il faisait bon accueil et pendant l'apéro restait sur les fauteuils, grignotant ça et là olives et cacahuètes, ronronnant de plaisir, pour lui c'était la fête. Quatorze ans ont passé,quatorze ans de bonheur, avec toi mon Micky si doux et si gentil, mais un jour, sur ton ventre,des grosseurs ont sailli, un cancer des vaisseaux et beaucoup de douleurs. Chez le vétérinaire,un jour de février, il a fallu aller et pour te soulager, serré tout contre moi, là-bas tu es parti rejoindre tous les chats qui sont au paradis. C'était il y a cinq ans et,écrivant ces mots, je ne peux retenir et masquer mes sanglots, les enfants sont partis,on le sait c'est la vie, à chaque nouveau jour,je pense à toi Micky. Dans le petit jardin où tout près tu reposes, je cueille quelques fleurs et sur toi je les pose, je revois ces moments où,sur le cerisier, tu guettais les oiseaux,espérant les croquer. D'autres chats sont venus, avec un pedigree, mais,gentils comme toi jamais ils n'ont été. Mon Micky,garde-moi une place près de toi, car un jour, j'en suis sûre,on se retrouvera. Geneviève BAFFERT (mars 2009 ) J'ai eu beaucoup de chats mais Micky était le meilleur et je pense à lui tous les jours.Je lui ai écrit un poème.

GENEVIEVE