Orya
2000 - 2012
Femelle
Né(e) le : 02 août 2000
Disparu(e) le : 30 octobre 2012
De : COUFFE
Maître·sse : Orya44
Signe particulier :
Son caractère de cochon
Friandise préférée :
Toutes
Jouet préféré :
Son doudou et les pouics-pouics
Meilleurs amis :
Pluton
Oseille
Origan
Dolky (son chaton adoptif)
Crevette
Junior
Klif
Montana
...
En mémoire de Orya
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10 ans que tu partageais nos vies... Nous t'avons adoptés, le 03 août 2002, tu avais tout juste 2 ans et déjà 2 abandons... Et entre toi et moi, c'était comme, le destin, qui a voulu qu'on se rencontrent. Et je ne m'étais pas trompée. Tu as était la chienne, qui a fait ce que je suis aujourd'hui, on a vécu tellement de choses ensemble, des souvenirs inoubliables, tu étais ma confidente, la chienne qui m'a fait découvrir la vie et redonner le sourire. Tu étais précieuse, un caractère bien trempée mais qui t'allais si bien. Tu représentais et tu le représente toujours dans mon coeur, tout pour moi, si je suis là aujourd'hui, c'est grâce à toi, je te dois tout, tu me manque énormément... Je pense toujours à toi !
Je craignais le moment où que ça arriverait... Comment trouver le courage de prendre la bonne décision, et comment accepter de te dire aurevoir ?
Tout allait bien pour nous, jusque là, tu vieillissais normalement et avait une joie de vivre, rien ne laissait penser ce qui allait arriver... Puis, tu t'es affaiblie d'un coup, en quelques jours. Ce vendredi matin, tes forces commencées à faiblir et nous avons du aller en urgence au véto... Malgré que je m'attendais à de mauvaises nouvelles, je ne m'attendais pas, à te dire aurevoir aussi rapidement... pour moi, tu étais Orya, ma louloute avait qui, j'ai tant partagé, la maladie ne pouvais pas nous séparer aussi vite...
Et l’échographie a était sans appel... Tu avais une énorme tumeur de la rate, dernier stade, métastasée de partout, qui commencé à attaquer ton coeur... inopérable. Le verdict a était l'épée dans le coeur, j'en ai pleuré toutes les larmes de mon corps, alors qu'il fallait que je prenne une décision. Une décision, qui pour moi n'était pas concevable pour ce matin là, je n'étais pas prête et malgré ta maladie, tu avais encore la force de vivre. Je me rappelle que tu guettais à la fenêtre, les voitures qui passées, pendant l'echo, tu écoutais tout, toujours aussi attentive et curieuse à ton environnement. Après longue discussion avec la véto, on a pu convenir d'un traitement pour essayer de te faire gagner encore quelques jours, sans que tu souffres, malgré qu'il y avait un risque, que tu décède à la maison... Durant ces quelques jours, on en a profité un max, je te gâtais et le traitement te faisais du bien. Je passais mes nuits auprès de toi, pour te surveiller, quoi qu'il arriverait. Ce dimanche tu te remettais à jouer et faire la folle sous le soleil d'automne et le lundi, tu regambader comme ci de rien n'était ! Ce jour là, je ne le regretterais jamais et je m'en souviendrais. Je me revois encore te courir derrière durant la balade pour t'éviter d'aller à l'eau sans moi, où quand je te voyais prête à aller dévaler les butes, alors que tes pattes arrières restaient fragiles, mais c'était toi, malgré la maladie, tu ne te laissais pas abattre et tu en as profitais jusqu'au bout. Ce jour là, était merveilleux, un jour où qu'on a "oublié" la maladie. Puis, le lendemain midi, tu commencés à t’affaiblir, comme d'habitude, je t'emmenés avec moi au boulot, donc je te surveillais, ce midi là, tu as d'ailleurs était gâtée par les collègues et puis, le soir, était plus difficile...
On a toujours la crainte, de prendre la décision, trop rapidement, que ce n'était pas encore l'heure... On est rentré à la maison, je me disais que c'était peut être qu'un coup de fatigue. Puis, descendu de voiture, le temps de descendre, tes 2 autres copains, tu t'étais couchée dans l'herbe... Je suis restée quelques minutes assise auprès de toi, à te parler et te caresser, je voyais bien dans ton regard, que tes forces te quittais, que la maladie prenait le dessus... Mais réaliser que c'est l'heure est encore plus dur... Mais je ne voulais pas, que tu souffre, ou en tout cas, le moins possible et l'idée que tu t'éteigne d'une hémorragie interne, en souffrance, et avec le risque, que je ne sois pas à tes côtés, n'étais pas plus acceptable. Nous sommes donc repartis en voiture, pour ton dernier trajet... Une fois, à la clinique, tout c'est passé très vite, ton petit coeur était faible, je t'ai accompagnée jusqu'au bout...
Ton absence laisse un grand vide, mais tu auras était une louloute adorable, avec ta personnalité, même si elle était forte, c'est ce qui faisait ton charme ! Tu adorais faire ta "chef des poilus" et en même temps, jouer ton rôle de "maman protectrice" exemplaire à tout niveau avec eux...
Tu m'auras accompagnée durant 10 ans, surmonter tout les moments, tellement partagé ensemble... tu étais et tu seras toujours, ma deuxième partie de moi, j’espère t'avoir donné autant que tu le méritais et t'avoir fait découvrir la vie à fond.
Je ne saurais jamais comment te remercier de tout ce que tu ma apporté, mais je t'es offert tout mon amour et ce jour du 30 octobre 1012, je t'es accompagnée jusqu'au bout, comme je te l'avais promis...
Tu es dans nos coeur, on ne t'oublieras jamais ! Tu nous manque tellement...
Ta môman et les poilus de la famille !
Emeline
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14 commentaires
Le souvenir est une fleur qui ne meurt jamais
De : tonymario
25/02/2014 à 18:31:26
Je partage votre douleur
De : kenavo35
22/11/2013 à 17:08:12
Je partage votre douleur
De : coolissimo
20/11/2013 à 20:09:27
Le souvenir est une fleur qui ne meurt jamais
De : tititia69
19/11/2013 à 16:24:26
Dans nos coeurs pour toujours
De : victor10
17/11/2013 à 18:17:43