En mémoire de Mourzik

Mon Mourzik adoré, mon petit chaton d’amour, Tu nous a quitté hier dans la soirée. Tu es parti trop vite, seulement une semaine à peine qu’on t’a diagnostiqué cet affreux cancer. Je suis navrée et je m’en veux énormément de ne pas pouvoir su déceler ta maladie plus tôt. C’est arrivé si soudain. Ni toi ni nous, n’étions préparée à ce départ soudain et fulgurant. Nous avons essayé tous ce qui pourrait t’aider, consulté plusieurs spécialistes, fait tous les examens et analyses et commencé une chimiothérapie, ... . Nous avons eu un espoir, même minime, de pouvoir s’en sortir... Mais malheureusement tu t’affaiblissais de jour en jour. Et hier soir ton petit cœur s’est arrêté pour toujours. Mon chagrin est immense et je ne pense pas pouvoir me consoler un jour. Depuis une semaine je n’arrête pas de pleurer. Avec ton départ, tout est si vide, si gris, dans odeur et sans goût. Même la nature semble triste avec la pluie incessante, la grisaille et le froid... Tu restera toujours dans mon cœur et dans ma mémoire. Toi qui a partagé tous les moments avec nous, tu a été là aussi dans les moments de joie, de tristesse ou de maladie. Notre ami et compagnon fidèle, tu a passé toutes les vacances avec nous, beaucoup voyagé et fait beaucoup amis. Tu a su nous rendre si heureux, nous donner tout ton affection et amour. Tu a même conquis les cœurs de tous nos amis et nos voisins, même ceux qui n’aimaient pas particulièrement les animaux et encore moins, les chats. Avec ton très bon caractère, ton intelligence et ta délicatesse, tu a su les séduire. Tu est parti si tôt, mon petit cœur d’amour. C’est tellement dur de ne plus pouvoir te voir, te caresser, de faire des bisous. Ne plus entendre le bruit de ta chatière très tard dans la nuit lorsque tu rentrais de tes balades nocturnes, ne plus te voir avec nous lors de nos promenades quotidiennes dans le quartier, ne plus faire les siestes avec toi, ne plus entendre ton ronronnement, ne plus te sentir allongé sur nous lors des soirées dans le canapé devant la télé (obligatoirement une patte qui devait toucher soit mon mari soit moi). Merci mon petit chaton pour tout ton amour, ta fidélité, tes câlins, tes caprices, ta joie éternelle, ton envie de jouer et de tes bêtises. Nous étions très fières de toi, tout le monde autour de nous disait que tu était un chat extraordinaire. Merci et adieu mon chaton d’amour. Ta maman et ton papa qui t’aiment.

Tania